Quand les héros meurent

Il s’est éteint dans la nuit du 19 au 20 mai 2009, le général Mbuza Mabe était évacué en urgence vers l’Afrique du Sud où il a était hospitalisé depuis plus de 2 mois.
Le général Mbuza Mabe a fait sa réputation dans la guerre de Bukavu contre les mulelistes puis, de chef des opérations dans le conflit qui a opposé l’armée régulière aux troupes de Laurent Kunda en 2004.
Par Ila Mbombo

Une mort mystérieuse pour les officiers supérieurs militaires originaires de l’Equateur

La mort frappe mystérieusement les officiers supérieurs militaires originaires de Bumba dans la province de l’Equateur au Nord de la République Démocratique du Congo. Les Mbuza n’ont pas fini de pleurer leurs héros qui disparaissent de manière surprenante.
En 1987 c’était le colonel Mbombo Mobolea, commandant du 311ème bataillon basé à Kamina mourait empoisonné, cet homme qui avait marqué sa hiérarchie, ses troupes et la population du Katanga par sa bravoure pendant la guerre de 6 et de 80 jours, la guerre de Moba où sa réputation suscitait l’admiration même de ses ennemi.
En 1997, le général Mahele, Chef d’Etat Major Général fut assassiné lâchement dans la nuit du 16 au 17 mai par des mutins a l’entrée de l’AFDL.
En 2007 le général Agolowa, commandant région basé à Mbuji Mayi meurt dans des conditions non élucidées
Aujourd’hui, c’est dans la nuit du 19 au 20 mai que s’éteint le général Mbuza Mabe à Johannesburg en Afrique du Sud. Il était basé à Kamina.
Que leurs âmes reposent en paix.
Par Ila Mbombo

Le phénomène « Kuluna » : la criminalité en plein jour

Aujourd’hui à Kinshasa, la criminalité a pris une autre forme.
Des gangs se livrent au racket, au règlement de compte de jour comme de nuit dans pratiquement tous les quartiers de Kinshasa. Et quelques hommes en armes se joignent à cette pratique barbare pour troubler la quiétude des gens qui gagnent difficilement et honnêtement leurs vies.
Chose étonnante, c’est que, des hommes qui battent leurs femmes dans la rue, des familles qui attaquent d’autres familles à coup de machette, parlent de « Kuluna ».
La violence a changé de vitesse.
Par Ila Mbombo

La joie de vivre

Il est vrai que quand on trouve une femme, on trouve le bonheur, dit la bible ; car toutes celles qui sont en pagne, jupe, robe, ne sont pas épouses ou épousables.
Parce qu’on a pris l’habitude de vivre avec celle qu’on a choisie, Il nous arrive de désirer, de croire qu’une autre nous irait mieux mais, c’est au bout du chemin que l’on se rend compte qu'on s’était trompé.
On cherche l’inconnu parce qu’on croit que l’inconnu nous aimerait mieux mais en réalité l’inconnu prétend nous aimer parce qu’il ne nous connait pas.
Depuis le 28 février 2009, j’ai lié ma vie à celle de Laetitia Zola, gloire soit rendu à l’Eternel notre Dieu qui a institué le mariage.
Je dédie cette pensée à mère et à ma femme chérie