vendredi 14 novembre 2008

Les souvenirs s’effacent sous le poids des années


L’histoire du Congo raisonne dans ces murs et se meurent sous le regard passif de ceux-là même qui ont hérité de la puissance coloniale, la direction des affaires de ce pays sans en conserver les acquis.
Ce qui reste de la Bibliothèque Nationale du Congo, c’est la mémoire rongée d’un peuple
Par Ila Mbombo

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